Coûte que coûte

Coûte que coûte

Année de production
2024
2 saisons
Prochain épisode mercredi

« Coûte que coûte » s'intéresse aux phénomènes de société. Crises économiques, terrorisme, arnaques de certains régimes, coulisses des grandes marques ou encore succès d'entreprises belges à l'étranger, tout est décrypté.

Genre
Société
Présentation
Benjamin Maréchal

Épisodes

12 épisodes

Avec 482 magasins à travers le monde dont 8 en Belgique, Ikea est devenue l'une des enseignes préférées des Belges. La marque est devenue le leader mondial sur le marché de l'ameublement et de la décoration intérieure. Parmi les différents points de vente aux quatre coins du globe, ils ont tous un point commun : le même parcours fléché, mis au point dans les années 70. En 2022, près de 12 millions de clients belges sont venus se perdre dans ce labyrinthe de 10.000 références aux noms imprononçables. Et 1 Européen sur 10 aurait même été conçu dans un lit Ikea. Comment l'enseigne, qui fête cette année ses 80 ans, fait-elle pour maintenir une telle popularité ? Comment est organisée cette marque qui réalise chaque année plus de 40 milliards d'euros de chiffre d'affaires ? Comment conçoit-elle ses modèles ? Pour le savoir, nous avons suivi le quotidien d'un grand magasin, de la réception des meubles au petit matin, jusqu'à la création des ambiances. Pour percer ses secrets, nous avons eu l'autorisation exceptionnelle de pénétrer le siège du groupe à Almult en Suède, là où sont conçus les nouveaux modèles. Une plongée au coeur de l'empire suédois !
Avec le succès des télécrochets comme « The Voice » ou « La Nouvelle Star », beaucoup de jeunes rêvent aujourd'hui de devenir chanteurs. De plus en plus d'écoles de chant proposent de les aider à réaliser leur rêve, même si le prix à payer est parfois élevé. Mais tout le monde ne rêve pas de vivre de la musique, de nombreux amateurs prennent aussi des cours de chant juste pour le plaisir. Parce que chanter, ça fait du bien, c'est bon pour la santé et le moral.Dans Coûte que coûte, nous irons dans les coulisses de l'AICOM, prestigieuse école de comédie musicale. Nous suivrons le parcours d'Héloïse, alias Helora Rose, qui essaie de percer dans la musique. Nous verrons que les Académies proposent des prix défiant toute concurrence, mais qu'elles sont victimes de leur succès. Nous assisterons à la répétition d'une chorale où on apprend le plaisir de chanter en groupe... Dans Coûte que coûte, nous explorons ce business très florissant des cours de chant.
60 millions de Barbie vendues en 2022. Et l'année 2023 s'annonce encore meilleure !Le film Barbie, c'est la démesure. 145 millions pour la production du film et 150 millions pour sa promotion. Il a couté pas loin de 300 millions de dollars et rien ne semble arrêter le phénomène. Chez nous, un Belge sur dix est allé voir le nouveau film Barbie.Ce soir, l'émission se penche sur les conséquences de ce phénomène. Le film a-t-il eu un impact sur les entrées dans les salles de cinéma du pays ? Est-ce qu'il y aura encore assez de Barbie dans nos rayons pour la Saint-Nicolas et les fêtes de fin d'année ? Nous testons également la poupée Steffi Love qui ressemble à s'y méprendre à une Barbie.Enfin, une conséquence plus inattendue, il y a les fans qui veulent acheter une Barbie et y a les fans qui veulent lui ressembler le plus possible. Nous avons retrouvé Rachel Evans, cette anglaise qui a dépensé 44.000 euros pour ressembler à la poupée.
Pendant longtemps le fameux steak haché pur boeuf coincé entre deux tranches de pain a été l'apanage des fast food et de la junk food. Vite fait, parfois mal fait, gras, sucré, calorique, standardisé, sa qualité principale était son prix.Tout a changé aujourd'hui. Son prix d'abord entre 10 et 15 euros la pièce dans les brasseries et restaurants, sa composition ensuite : il est fabriqué à base de produits frais et peut être agrémenté de multiples ingrédients : légumes, fruits, épices. Il peut aussi être assaisonné de sauces improbables ou accompagné de buns aux recettes toujours plus inventives. Bref, le hamburger est de moins en moins américain, de plus en plus local.Mais attention. Les propositions ne sont pas toutes exemptes de critiques. Rien de plus facile que de lancer un restaurant de hamburger à prix modique sans le moindre talent. L'équipe de Coûte que Coûte s'est glissée dans les cuisines de plusieurs enseignes de burger pour mener l'enquête.
Le pain est un aliment de base en Belgique. Il est de plus en plus cher, mais il est aussi de plus en plus consommé. Le prix d'un pain blanc de 500g peut aller de 1€ jusqu'à environ 4€. Qu'est-ce qui explique cette différence de prix ? Pourquoi les prix augmentent ? C'est ce que nous avons voulu savoir dans Coûte que coûte.Nous sommes allés à la rencontre des artisans boulangers comme des industriels. Nous avons remonté la filière pour savoir si le pain des supermarchés est acheminé surgelé de Pologne pour baisser les prix au maximum. Nous sommes allés voir un agriculteur qui produit du blé en Belgique et l'un des derniers moulins qui moud le grain comme il y a 200 ans.
Parmi les savoir-faire gastronomiques reconnus en Belgique, la bière et le brassage se retrouvent à côté du chocolat et des frites ! Chaque Belge a, d'ailleurs, sans doute déjà bu des bières ou encore mangé des fromages d'abbaye. Sur leurs étiquettes, des images liées à la religion avec des abbayes ou encore l'image d'un moine. Derrière ces étiquettes, il y a souvent une histoire et beaucoup de marketing. Par produits d'abbayes, on entend évidemment produits trappistes. Ils font partie de notre patrimoine belge. Mais que garantit ce label ?Ces produits sont d'ailleurs souvent plus chers que les traditionnels. Certaines marques brouillent les pistes, faisant passer des produits industriels pour des produits artisanaux. Mais valent-ils pour autant leur prix ? Que reste-t-il de monastique dans ces produits ? Que se cache-t-il derrière ces étiquettes ? Coup de marketing ou véritable authenticité ?Coûte que Coûte a enquêté sur la question !
Nous y serons tous confronté un jour et souvent on ne s'y attend pas, mais les enterrements et crémations représente un budget très important. Coûte que Coûte décortique le prix des funérailles et vous propose de découvrir des alternatives moins chères.Avec en moyenne 110.000 décès par an en Belgique, le marché des pompes funèbres se porte plutôt bien. Le magazine se penche sur un secteur où les tarifs sont souvent opaques et où, dans un moment de détresse et de douleur, les familles ne sont pas en état de comparer les prix. Souvent sous-estimés, les prix varient selon les prestataires, les services choisis, les taxes communales, le type de pierre tombale ou de monument. Il faut pourtant compter aujourd'hui de 5.000 à 6.000 euros pour un enterrement, sans pierre tombale, ni concession, ni réception. De plus en plus de famille ont donc du mal à offrir à leurs proches l'enterrement qu'elles souhaiteraient.Mais quelles sont les dépenses vraiment incontournables ? Sur quels postes peut-on jouer pour diminuer le budget ? Qu'est ce qui fait que les prix varient parfois du simple au triple, voire plus, selon la commune où a lieu le décès et l'inhumation ou l'incinération ? Est-il toujours plus cher d'opter pour la crémation ? Benjamin Maréchal vous donne des conseils et des pistes pour limiter les factures tout en planifiant un « au revoir » en toute dignité.
Suite aux crises successives que nous avons vécues, les questions d'argent sont plus que jamais au coeur des préoccupations des Belges. Benjamin et toute l'équipe de « Coûte que Coûte » vous proposent de s'intéresser à ces questions épineuses relatives à notre quotidien.
Dénicher la perle rare sur l'étal d'une brocante, trouver la pépite vintage dans un vide grenier, c'est le rêve des chasseurs de trésors qui arpentent chaque week-end les marchés aux puces et autres antiquaires. Mais peut-être qu'au fond de vos tiroirs ou dans une caisse rangée dans votre garage dorment des objets dont vous avez oublié l'existence et qui pourtant pourraient rapporter gros. Car ce qui cartonne aujourd'hui dans les brocantes n'est pas forcément ce qui se vendait cher hier. Dans cet univers là aussi il existe des modes et des tendances. Un exemple ? Les cocottes Le Creuset. Il y a quelques temps encore, Pierre-François Garcier en trouvait facilement à moins de 30 euros. Aujourd'hui elles se vendent souvent 5 fois plus cher en seconde main. Autre exemple : les cartes Pokémon. Certaines collections atteignent aujourd'hui des sommets. Si vous avez grandi en collectionnant ces cartes qui ont fait fureur dans les cours de récré, vérifiez vos fonds de tiroir. Peut-être y trouverez-vous un Pikachu de grande valeur ? On vous dit comment le vérifier.Ce soir Coûte Que Coûte fouille dans vos greniers pour vous aider à en découvrir les trésors cachés.
Revivez la construction de la tour Eiffel avec son créateur, l'entrepreneur et ingénieur français Gustave Eiffel, loger et déjeuner dans un hôtel aux décors de station spatiale à des années lumières de la Terre... Les expériences immersives se multiplient partout, plus renversantes les unes que les autres dans les musées et expositions, ou dans les parcs d'attractions.C'est la nouvelle tendance en matière d'expériences culturelles. Aujourd'hui, chaque exposition se doit d'être immersive pour plaire au public. La réalité virtuelle, les jeux vidéo et l'interaction sont au coeur d'une nouvelle manière de consommer l'art, centrée sur le visiteur. Munis ou non d'un casque de réalité virtuelle, ils ne sont plus seulement spectateurs, mais deviennent désormais aussi acteurs. L'expérience s'étend également dans les parcs d'attractions qui reproduisent des sensations plus vraies que nature.Des entrepreneurs ont tout misé sur ce marché en plein essor, estimé à plus de dix milliards d'euros dans le monde. Comment sont conçues ces nouvelles activités qui vous plongent au coeur de l'action ? Qui sont les entrepreneurs qui parient sur ce marché ? Et surtout, combien de bénéfices peuvent-ils en tirer ? Coûte que Coûte enquête sur ce nouvel eldorado du tourisme !
Se parfumer n'a jamais été coûté aussi cher. Comme tout le reste, le prix de vos flacons préférés s'est envolé en magasin : plus 25 à 30% en trois ans.Mais depuis quelques années, de nouvelles enseignes, de nouvelles marques cherchent à séduire les consommateurs en quête de bons plans. Et Il est aujourd'hui possible de trouver des parfums à tous les prix, et même à moins d'1 euros chez un discounter bien connu. Zara, Action, Di ou encore Lidl proposent des senteurs qui sont parfois très similaires à de grands parfums dans leurs ingrédients et leurs notes olfactives. Certaines enseignes comme Equivalenza ou Alternatives parfum en ont fait leur modèle économique. Elles proposent plusieurs centaines de « jus » qui - sans le dire - sont en fait des déclinaisons low cost de produits de grandes marques. Il ne s'agit pas à proprement parler de contrefaçons puisque ces produits ne cherchent pas à vous tromper : le packaging, le flacon, le nom sont clairement différents de l'original. C'est ce qu'on appelle des « dupes » de parfum. Des fragrances qui olfactivement se rapprochent parfois étonnamment de produits bien plus coûteux. Sauf que leurs prix sont étonnamment bas. En général, ils ne coûtent que quelques euros. Mais à ce prix-là, ces fragrances valent-t-elle vraiment le coup ? Parfums chics contre prix chocs, Coûte Que coûte vous propose ce soir de découvrir le business surprenant des nouveaux rois du parfum low cost.
Christophe Michalak, Hélène Darroze, chaque Noël, Picard s'offre les services d'un grand pâtissier pour sa bûche star. Selon nos informations, l'enseigne les paie entre 10.000 et 50.000 euros, en fonction de leur notoriété, plus un pourcentage sur les ventes. La période des fêtes est stratégique : 70 nouveautés pour épater les convives. Dans les usines, les fournisseurs mettent les bouchées doubles pour que les pères Noël de l'enseigne, avec leur barbe blanchie par le froid, livrent à temps les magasins. Coûte que coûte mène l'enquête et vous dira si il est possible de faire votre prochain menu de fêtes avec du 100% surgelé !
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