Victoria

Juin 1837. A la mort de son oncle, la très jeune Victoria doit prendre en main la destinée du Royaume-Uni. Mais elle y est mal préparée et peut difficilement assumer ce devoir qui lui incombe.

Alors que la popularité de Melbourne à la Chambre diminue, les Tories attendent impatiemment leur triomphe imminent. Le plus impatient de tous, le Duc de Cumberland voit la future défaite de Melbourne comme une opportunité.

Lorsque l’oncle de Victoria, Léopold, propose Albert comme nouveau mari pour sa nièce, une myriade de prétendants tentent désespérément d’obtenir la main de la jeune reine.

Dès l’arrivée d’Albert au Palais, Victoria et le jeune prince s’opposent l’un à l’autre en tous points. Bien que son frère Ernest l’incite à séduire la reine, Albert ne ressent rien de plus qu’une profonde humiliation.

Victoria est une jeune femme comme les autres et, amoureuse, elle veut se marier. Mais elle est reine et doit soumettre les demandes d’Albert, son futur époux, au Parlement.

Tandis qu’un Albert déprimé espère qu’un héritier pourrait lui amener plus de respect, Victoria est déterminée à se montrer plus habile que Sussex, et à donner à Albert l’estime qu’il mérite.

Albert ne supporte plus d’être confiné dans son rôle, et sa passion pour la modernité le pousse à envisager un voyage vers le nord industriel de l’Angleterre. Malgré sa grossesse, Victoria tient à l’accompagner.

Alors que son terme se rapproche, Victoria supporte de moins en moins les tentatives d’Albert et de sa mère pour la forcer à rester confinée dans le palais.